
” Planchet, le valet de d’Artagnan, supporta noblement la bonne fortune, il recevait trente sous par jour, et pendant un mois il revenait au logis gai comme un pinson et accablé envers son maître. Quand le vent de l’adversité commença à souffler sur le ménage de la rue des Fossoyeurs, c’est-à-dire quand les quarante pistoles […]
Maîtres et Valets — L’atelier peinture de Christine